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  • Fernando Alonso s'enflamme pour l'un de ses compatriotes !Interrogé à propos des jeunes étoiles montantes de la F1, Fernando Alonso n'a pas tari d'éloges concernant Carlos Sainz.

     
    À 34 ans, Fernando Alonso est un des vieux briscards du paddock. Avec 249 Grands Prix au compteur, l'Espagnol est respecté et apprécié par tous les autres pilotes. Mais lorsque ce dernier arrêtera la Formule 1, qui pourrait assurer la relève ? Fernando Alonso a lui une petite idée !
     
    « Carlos a été le meilleur selon moi »
    « De tous les jeunes pilotes qui ont gravi les échelons des formules de promotion ces dernières années, Carlos a été le meilleur selon moi. Avoir quelqu'un comme Verstappen à ses côtés est une bonne chose pour lui. Parfois vous n'avez droit qu'à un équipier moyen et cela ne vous aide pas à vous distinguer. Avec Max, ce n'est pas le cas et je pense que Carlos a été capable de montrer de grandes choses et de gagner le respect de tout le monde. S'il peut devenir Champion du monde ? Le fait que cela lui arrive ou non dépend d'un certain nombre de facteurs. L'un d'eux, c'est la chance. S'il en a dans l'avenir, il aura au moins pris un bon départ pour y arriver. J'espère vraiment que ça se passera bien pour lui parce qu'il le mérite », a ainsi confié Fernando Alonso dans des propos rapportés par Nextgen.

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  • Alonso - On me parlera encore de l'année sabbatique en janvierLe pari de rejoindre McLaren-Honda pour la période 2015-2017 n'a pas commencé de la meilleure des manières pour l'Espagnol qui a subi les affres d'une unité de puissance peu performante et très peu fiable.

     
    Interrogé par le site Internet Top Gear, le double Champion du Monde est une nouvelle fois revenu sur cette saison difficile, affirmant qu'il a pu en tirer du positif.
     
    "Nous avons appris de ça, nous restons unis et nous travaillons en harmonie. Ça a été la chose positive cette année et la négative a été les résultats. Il y a des parties de vous qui sont toujours en apprentissage. C'est ce qui s'est passé cette année."
     
    "La manière dont l'équipe a répondu aux difficultés était très inspirant, et j'ai beaucoup appris. La culture japonaise est un petit peu différente. Je ne blâme personne, et dès le premier jour l'équipe a compris le défi."
     
    L'imbroglio de l'année sabbatique
    En toute fin de saison, à Abu Dhabi, Ron Dennis avait agité le paddock en expliquant qu'une année sabbatique pour Alonso était potentiellement envisageable en 2016, si la voiture produite ne s'avérait pas performante dès les premiers essais.
     
    Quand il lui est demandé s'il sera au GP d'Australie, l'intéressé répond : "Oui. La discussion a été lancée par Ron [Dennis] le vendredi [du GP de Singapour], et le samedi il a dit le contraire, mais évidemment plus personne n'écoutait."
     
    "J'ai parlé à Ron le vendredi. Il a dit : "Je vais clarifier". J'ai démenti le vendredi, le samedi et le dimanche, et je suis sûr que je répondrai aux mêmes questions en janvier."
     
    Il assure cependant ne pas être frustré par les médias : "Je sais que certains messages et certaines directions sont plus attractives que d'autres, et vous devez faire avec."
     
    "Vous savez vous-mêmes ce que vous cherchez, ce que vous dites et ne dites pas, et ce que les autres gens disent et ne disent pas. Quand il y a des questions ou des polémiques autour de vous, et que vous savez qu'elles ne sont pas vraies, vous devez les arrêter."
     
    Au Brésil, "j'ai apprécié toutes les blagues" sur Twitter
    Les médias, sociaux cette fois, ont donné une résonance toute particulière à la panne que Fernando Alonso a connu lors des qualifications du GP du Brésil, quand il s'est assis dans une chaise d'un commissaire de piste pour se mettre en position de bronzage.
     
    "[C'était] une tribune différente. Pour moi tout seul. Je n'ai pas vraiment fait attention, à ce moment-là. Plus tard dans l'après-midi, j'ai apprécié toutes les blagues. Avec les médias sociaux, je ne sais pas pourquoi c'est devenu quelque chose d'aussi grand."
     
    Pour 2016, l'écurie McLaren-Honda s'est montrée optimiste assurant qu'un gain de deux secondes au tour était possible : "Je suis d'accord avec ça," déclare Alonso. "Peut-être même plus que ça. Mais tout le monde va progresser entre une demi-seconde et une seconde. C'est la progression normale que les équipes de pointe peuvent avoir tout au long de l'hiver."
     
    "Pour nous qui sommes à deux secondes du rythme, nous devons faire bien plus que cela, et l'unité de puissance sera la principale chose pour débloquer ce potentiel. Des changements radicaux au niveau de l'unité de puissance, au niveau du design et de la philosophie, nous connaissons le déficit dans les lignes droites. Toutes les solutions que nous avons identifiées apporteront de gros progrès au niveau du temps au tour."
     
    Plus de puissance et de liberté en 2017
    La question du règlement 2017 lui a de nouveau été posée, avec une réponse qui ne varie pas : "[Je voudrais] de plus gros moteurs. Plus de puissance. Peut-être plus d'aéro. Plus de liberté pour les équipes de développer, et plus d'essais."
     
    "C'est la F1 comme il y a 10 ans, qui est parfois perçue comme plus chère, ce dont je doute puisque la technologie actuelle – les simulateurs par exemple – augmentent les coûts. Si certaines équipes ne peuvent pas s'offrir des tests, eh bien c'est naturel, c'est un sport."
     
    Sur son avenir au-delà de 2016, il ne se projette pas : "Vous devez être très ouvert à toute possibilité. Actuellement, je pense que c'est trop loin... nous verrons ce qui arrive dans 18 mois, si nous avons atteint les objectifs ou non et quelles sont les motivations pour continuer en F1."

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  • Ce pilote essonnien a besoin de vous pour devenir le futur AlonsoPour Noël, rien ne plairait davantage à Gabriel, champion de kart, que d'avoir assez d'argent pour poursuivre sa passion. Annoncé comme l'un des plus grands espoirs du sport automobile français, ce garçon de 10 ans, résidant à Boullay-les-Troux, qui s'entraîne à Rosny-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) et à Angerville, pourrait ne plus jamais rouler sur une piste. Car ses parents ne parviennent plus à financer sa passion. Mais fiers des résultats que le petit pilote obtient lors des compétitions, son père Raul Jimenez a lancé un appel au financement participatif sur le site kisskissbankbank. Plus de 6 000 € ont déjà été collectés grâce à une quarantaine de donateurs. « Mais plus on aura d'aides, et plus Gabriel pourra faire de courses », insiste son papa, qui le voit déjà comme le futur Alonso.

     
    « Fernando Alonso, c'est mon idole, confie Gabriel. Je rêve de devenir un pilote de F 1 comme lui. Je n'ai jamais eu envie de faire autre chose. Je suis content que mes parents essaient de trouver une solution pour que je puisse continuer le kart. » Comme il n'oublie pas non plus de briller par ses résultats scolaires, difficile de lui demander de raccrocher malgré les sommes astronomiques que cette discipline exige.
     
    « Avec 4 à 5 fois moins de budget que ses concurrents, il est beaucoup plus rapide que les autres »
    « Gabriel a commencé à piloter à 7 ans, raconte son papa. Avec 4 à 5 fois moins de budget que ses concurrents, il est beaucoup plus rapide que les autres. Mon épouse et moi avons les pieds sur terre. Nous ne savions pas que cela coûterait si cher. Mais cela fait tant partie de sa vie, ce serait cruel de baisser les bras. »
     
    Il n'est pas le seul à vouloir que son fils poursuive sa jeune carrière de pilote. De nombreux professionnels de la course automobile encouragent le garçon. « Il est important pour notre sport que la sélection ne se fasse pas par les moyens financiers mais par le talent de chacun », insiste Jean-Pierre Deschamps, président de la commission nationale de karting. Même son de cloche pour Renaud Pin, organisateur d'événements karting : « Un tel pilote ne se croise pas tous les jours dans les paddocks. »
    Dons « Une saison 2016 pour un champion de karting » sur www.kisskissbankbank.com
     
    Environ 6 000 € pour une saison de courses
    Pour que les donateurs sachent où va l'argent, le papa de Gabriel Jimenez a détaillé le budget d'un pilote de karting.
     
    4 750 € de matériel et équipement : un nouveau châssis à 2 700 €, 1 000 € pour adapter le moteur actuel à la nouvelle catégorie, 2 700 € pour le nouveau châssis, 350 € pour la combinaison, les gants...
     
    430 € par week-end de course : pneus, essence, entretien, pièces à changer.
     
    250 € d'engagement et de frais par compétition.
     
    « L'idéal est de boucler un budget de 10 000 € pour disputer certaines courses nationales, détaille Raul Jimenez. Mais avec 6 000 €, on peut faire une saison plus ou moins intense en assurant le minimum de courses à faire (4 courses du championnat régional, la Coupe de France et le Championnat de France). »
     

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