• Carlos Ghosn: « J'adorerais que Fernando Alonso signe avec Renault »Carlos Ghosn a déclaré hier lors de la présentation de la nouvelle Renault qui serais ravi que Fernando Alonso puisse revenir dans l'équipe. Cela semble être le but de l'équipe Renault pour les prochaines saisons  le pilote asturien, qui a triomphé avec Renault.

     
    C'est qu'Alonso réussit à gagner leur équipe avec deux titres mondiales en 2005 et 2006, cependant, la chance n'a pas suivi le déjà vétéran pilote espagnol de 34 ans dans ses dernières années dans le sport, tel qu'il était proche de la victoire avec Ferrari, bien que Sebastian Vettel lui aigri le parti, et son second passage chez McLaren. L'objectif du projet pilote espagnol tente maintenant de consolider la nouvelle McLaren aux mains de projet Honda pour tenter de revenir à la lutte pour le titre.
     
    Ghosn a ajouté: "bien sûr, que je serais ravi du retour de Fernando, mais ce n'est pas ma responsabilité. C'est l'équipe qui prend les décisions et je soutiens toutes les décisions. » Sur la crise qui a laissé à la formule 1 de Renault, Carlos Ghosn a déclaré ce qui suit: « a quelque chose qui nous a frappé beaucoup, comme Honda et Toyota. Maintenant, nous pensons qu'il est temps de profiter de notre expérience et de récupérer l'histoire de notre marque en formule un. Notre objectif est ferme et est notre priorité. »

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  • Sainz - "Alonso est un très bon modèle"Sainz avait onze ans lorsque Fernando Alonso a remporté son premier titre mondial. Le double champion du monde a ensuite multiplié les résultats de premier choix dans la catégorie reine du sport automobile, et son jeune compatriote est désormais son rival.

     
    Alonso a beau avoir connu une saison particulièrement difficile chez McLaren, au volant d'une monoplace manquant à la fois de compétitivité et de fiabilité, il reste un exemple pour Sainz, qui apprend du champion autant que possible.
     
    "C'est un très bon modèle", déclare le pilote Toro Rosso pour Autosport. "Il traverse une période difficile de sa carrière donc c'est intéressant de voir comment il réagit, comment il se motive quand même et comment il gère toutes ces choses-là. C'est intéressant à voir, à observer, à apprendre. L'an dernier, c'était une année d'apprentissage."
     
    "Fernando n'a pas besoin de me donner de conseils parce que je l'observe toujours. Il n'est pas venu me dire 'Essaie peut-être ceci ou réfléchis à faire cela'. Ne serait-ce qu'en lui parlant lors de la parade des pilotes, comme je le fais toujours, ou dans le paddock. Je peux apprendre de lui. C'est un peu comme un miroir où l'on se voit."
     
    Un manque de fiabilité qui coûte cher
    Sainz a conclu sa première campagne en Formule 1 à une quinzième place quelque peu décevante, à 31 points de son coéquipier Max Verstappen. Le jeune Ibère n'a toutefois pas été aidé par le manque de fiabilité de sa monoplace, contraint plus d'une fois à l'abandon.
     
    "Ce n'est pas agréable de voir qu'on n'a pas tous les points qu'on mérite au compteur", poursuit-il. "Mais en fin de compte, c'est l'opinion des gens qui m'intéresse, Red Bull et Toro Rosso, ils savent tous les points que je pourrais avoir maintenant, ils ont calculé."
     
    "Au final, il faut prendre ce qu'on a. C'est le sport : parfois, on ne dépend pas que de soi. Espérons qu'en 2016, tout cela sera résolu et nous pourrons réellement attaquer."
     
    "Je pense que plus d'un serait surpris de voir le nombre de points que je pourrais avoir au compteur sans les problèmes de fiabilité. Des calculs que j'ai vus, j'aurais pu être bien plus haut [au classement], mais on ne sait jamais."

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